«Tout ira bien», nouveau recueil de poèmes de Driss Meliani

Mohamed Nait Youssef

«Tout ira bien» est l’intitulé du 8ème recueil de poèmes du poète, nouvelliste, traducteur et romancier marocain, Driss Meliani. Cette nouvelle publication poétique dont la couverture a été assurée par l’artiste peintre Mohamed Tarifi  s’inscrit dans le cadre du programme créatif des éditions «Moukarabat» (Approches), placé sous le thème «Parce que la poésie mérite».

En effet, ce projet  poétique visant la publication de 30 recueils de poésie du 19 février au 21 mars permettra aux voix poétiques de prendre part au 8ème forum arabe qui aura lieu au mois de mars à la ville de Fès mais aussi la célébration en beauté de la journée internationale de la poésie. Un événement culturel et poétique marquant qui meublera certainement le vide sidéral de la scène culturelle nationale. Pour les éditions  «Moukarabat» qui voient que «la poésie mérite», «les recueils de poèmes qui ont été sélectionnés sont issus de pays arabes».

Ainsi, à travers l’initiative «Mois de la poésie: 30 jours de créativité», les amoureux du verbe et de la parole découvriront le nouveau  recueil  de Driss Meliani  qui  est  l’une des voix poétiques marocaines et arabes ayant  consacré sa vie à l’écriture, à la lecture et surtout à la traduction des grands textes des noms connus et reconnus de la littérature et la poésie russes, tels que Alexender Pouchkine, Fiodor Dostoievski, Boris Pasternak… pour ne citer que ceux-là parmi tant d’autres.

En outre, ses œuvres poétiques et son expérience en matière de prose remontant aux années soixante du Siècle dernier. Ses nombreuses publications en témoignent dont «Rose de neige», «Noces des arènes», «Des poésies pour les bonnes personnes» et bien d’autres.

Maliani est romancier aussi. Il a enrichi la bibliothèque nationale avec des romans tels que «Casaanfa», «La maison rouge» où il creuse dans la mémoire collective marocaine, mais aussi et surtout dans l’imaginaire, les mœurs et les traditions de sa culture millénaire. C’est dans les années soixante, à l’image des autres jeunes créateurs de sa génération, que le poète a percé dans les puits profonds de la poésie d’ici et d’ailleurs.

Il est à rappeler que c’est en 1962 que le poète avait  écrit son premier poème commémoratif en hommage à sa grand-mère par l’intermédiaire de l’écriture poétique.

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