‘’KISSARIYA’’, nouvelle sitcom ramadanesque

Produite par Ali n’ Productions et réalisée par Rachid El Ouali

«KISSARIYA», nouvelle sitcom Ramadanesque produite par Ali n’ Productions et réalisée par Rachid El Ouali sera diffusée sur  la chaine 2M.

«La société de production audiovisuelle Ali n’ Productions fondée par Nabil Ayouch en 1999, a entamé le 20 février 2021 le tournage de sa nouvelle sitcom Ramadanesque pour le compte de la chaine nationale 2M. Notons que pour Ali n’ Productions le partenariat avec la chaine sur ce type de production remonte à 2001, avec la sitcom LALLA FATEMA, reconduite pour 3 saisons.»,  souligne la société de production dans un communiqué de presse.

En effet, les deux hommes dont la collaboration remonte au premier long métrage de Nabil Ayouch «Mektoub» en 1998, avec Rachid El Ouali en tête d’affiche, se retrouvent aujourd’hui autour du projet de sitcom «KISSARIYA», sur une idée originale de l’auteure Rita El Quessar. Produite par Nabil Ayouch, et réalisée par Rachid El Ouali, cette nouvelle série est avant tout le fruit d’une passion et ambition commune : s’attaquer au genre de la comédie dite sitcom en redonnant au registre toute l’importance comique de la mise en situation, ajoute la même source.

Première expérience en réalisation dans le genre pour Rachid El Ouali, jusque-là metteur en scène d’un registre plus dramatique, l’idée a été de favoriser dès les prémices de l’écriture un processus créatif visant à mettre en avant les situations comiques, avant même de penser les dialogues.

Un travail de longue haleine qui s’est étoffé avec une cellule d’auteurs de renommée, avec à leur tête Rachid El Ouali  : Jawad Lahlou, Samia Akariou, Nora Skalli, Ayoub Idri, Amine Smai, ou encore Yahya Fandi.

«Au sein d’une galerie investie par des personnages haut en couleur, s’entrechoquent les destins de Sanaa, arrivée à Agadir pour ouvrir son restaurant, son frère Saad, qu’elle débauche dans le but de concrétiser son entreprise, et de boutiquiers aux antipodes de leurs attentes. La cohabitation est d’emblée rude et parfois explosive. Il s’agit d’une série fédératrice qui transmet des valeurs humaines de partage et de générosité, elle ne s’attaque pas à la famille seulement mais à la famille qu’on se choisit, qu’on construit : les amis, les voisins, les collègues avec qui les liens tissés peuvent être aussi fort. Y aurait-il une place pour l’amour?», peut on lire synopsis de la série.

Reproduisant le décor de cet espace de vie central qu’est la Kissariya , celle-ci a été construite de toute pièce dans les locaux du Central Studios à la périphérie de Casablanca, bien que l’action scénaristique se déroule dans la ville d’Agadir, affirme Ali n’ Productions. Une architecture qui a nécessité plus de 4 moins de travaux allant de sa conception à sa construction.

Et d’ajouter : « pensée comme un espace de vie réel le plateau de tournage de la Kissariya à la particularité de s’articuler par un accès panoramique à 360°, sans angle mort, permettant une richesse d’axes, et scènes de vie les plus proches possible d’un quotidien qui est loin de l’impersonnel. Et ce malgré un souci de respect d’unité de lieu qui fait la spécificité du genre Sitcom.»

Pour la société, c’est un challenge permettant de se réinventer autant dans le jeu, que dans les atmosphères qui en découlent. 

Côté Casting, la production a fait le choix de sortie des sentiers battus, en donnant leur chance à des acteurs issus du drame tels que Nisrin Erradi héroine de la série, épaulée par Saadia Azegoun (Lalla Mennana), et Rachid El Ouali. Le trio est rejoint par les jeunes Haitham Miftah, et Hamza Filali, qui avec leur humour naturel de comédiens apportent à la série toute sa fraicheur contemporaine.

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