La prétendue «RASD» en chute libre

Les 20 années de règne de SM le Roi Mohammed VI ont permis de replacer le Royaume sur l’échiquier africain et international. La question du Sahara marocain, si elle n’a pas connu une solution définitive, a enregistré un regain de reconnaissance des droits historiques du Maroc sur ses provinces sahariennes.

Une belle percée a été opérée dans le continent africain, avec le retour du Maroc au sein de l’Union africaine, après une absence depuis 1982…

Depuis 2007, date de la proposition officielle du Maroc d’un plan d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine, de nombreux pays ont fini par épouser la cause marocaine.

Et rien que durant la seconde décennie du nouveau règne, des dizaines de pays, qui avaient reconnu la fantomatique RASD, qui par méconnaissance du dossier marocain, qui par complaisance à l’égard de l’Algérie ou purement par « conviction idéologique », ont rectifié le tir, en enlevant leur reconnaissance à la prétendue république des chimères. Les uns ont gelé cette relation intéressée, les autres ont franchi le pas et reconnu la marocanité du Sahara.

Aujourd’hui, sur plus de 160 pays que compte le monde, l’on dénombre uniquement moins d’une trentaine de pays qui reconnaissent encore la créature de Kaddafi et de Boumédiene.

Ainsi, depuis 1999, ce sont près d’une quarantaine de pays qui ont révisé leur erreur et rectifié le tir et seule un panier de moins d’une vingtaine de pays continuent à reconnaître la pseudo république, en dépit du fait que la question du Sahara marocain est en cours de règlement au sein de l’ONU.

Il ne faudra pas oublier qu’au début du conflit, Alger et ses alliés de l’époque avaient drainé presque 70 pays derrière eux, selon les chiffres avancés par nos voisins de l’Est. Ce chiffre ayant été actualisé à … 52 pays (sic).

C’est dire la chute libre de la créature chimérique et donc de ses mentors anciens et nouveaux traduit la nette avancée du dossier marocain au niveau des instances onusiennes qui continuent à gérer, exclusivement, le différend algéro-marocain, alors que Alger avait mis les mains et les pieds pour le mettre entre les mains de l’UA, où elle compte quelques soutiens inconditionnels.

En Afrique, les soutiens à la «thèse» algérienne ne se comptent plus que sur les bouts des doigts d’une main. Car la supercherie était grosse et a trop duré. Autant en Amérique latine où un vent de liberté souffle sur les pays ayant le plus combattu le Maroc sur sa question saharienne.

Autant dire que seul le sérieux perdure, tout le reste n’est qu’éphémère.

M.K

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