Il y’a des sobres responsables de l’administration qui émergent du lot, forcent l’estime fervente et laissent pantois d’admiration tout observateur de la vie universitaire!

Incontestablement, le président de l’université Chouaîb Doukkali à El Jadida, Yahia Boughaleb, en fait partie, sur toute la ligne. Son sens de  responsabilité et son engouement à en revendre font de lui, un véritable stratège de gestion, de savoir-faire et de communication.

Constamment au four et au moulin, il vaque à la mission qui lui est assignée, avec maestria et raffinement. En réel meneur d’hommes, il ne cesse de nouer d’excellents rapports de communion et de symbiose aussi bien avec son proche entourage que ses divers partenaires. Ses qualités humaines et professionnelles indéniables traduisent bel et bien, le dévouement dont il fait montre et la persévérance dont il fait preuve vis-à-vis de son quotidien.

Cette attitude largement positive ne peut avoir que des retombées judicieuses sur le staff administratif, le corps professoral et surtout les étudiants. A ce propos, on citera, non sans réjouissance, les prestations de partenariat avec les institutions homologues tant à l’échelon national que planétaire, ainsi que les prouesses des étudiants, notamment la doctorante, Kaoutar Essaidi, lauréate nationale du programme de l’Agence de l’Université de la francophonie, intitulé « Ma thèse en 180 seconde » dont la finale se déroule à Lausanne en Suisse.

D’autre part, on retiendra l’effort déployé, dans la synergie et la concorde, en direction de la mise à niveau des  réalisations infrastructurelles, techniques et équipementières, en particulier à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales et bien d’autres établissements universitaires. Notre pays a donc grand besoin des cadres de la trempe de Yahia Boughaleb, de haut degré de civisme et de citoyenneté, pour mener à bien leur tâche, dans un secteur aussi vital que l’enseignement supérieur.

Saoudi El Amalki