Sous le signe de «qualité de la formation et de la recherche scientifique», la Faculté des lettres et des sciences humaines, relevant de l’université Ibn Zohr d’Agadir s’attelle, sans relâche, à réunir les conditions optimales pour la rentrée universitaire de l’année 2019/2019. Comme à l’accoutumée, le staff administratif, conduit par Dr Ahmed Belcadi, l’inusable doyen de cet établissement n’a ménagé aucun effort pour ce faire, en pleine saison estivale. Cette année encore, une série de mesures ont été prises, à plus d’un titre, en vue de rehausser de plus belle l’état étincelant de cette institution, au niveau du cadre de travail flamboyant. En parallèle, une multitude d’actes de rénovation furent entrepris, en équipements et matériels didactiques, en vue de garantir toutes les dispositions idéales pour reprise efficiente et féconde.

C’est devenu une tradition que de renouveler à chaque fois les espaces accueillants de la faculté qui, de l’avis des observateurs, sont un modèle d’attractivité et de bienséance, aussi bien pour les étudiants qui mènent une vie sereine et quiète que les visiteurs qui sont admiratifs de cette splendeur d’accueil inédite. Pour le doyen, principal artisan de ce chef-d’œuvre, les étudiants recherchent, sans cesse, un site agréable pour se sentir motivé pour l’apprentissage et l’épanouissement et ressentir le besoin de s’approprier les lieux en contribuant à leur rayonnement. C’est dans cette optique, dit-il, qu’on se focalise sur les aspects extérieurs, tout en tenant compte, en étroite symbiose, des aspects ayant trait aux contenus de la formation, toutes disciplines confondues. C’est un travail laborieux et permanent auquel s’investit, dans une approche inclusive une panoplie des constituantes de la faculté.

Pour cette année, il s’est donc agi d’équiper pas moins de 13 grandes salles en nouvelles tables pour un volume de 180 chaises pour chaque salle, soit 2340, en plus des 10 autres salles déjà équipées pour un taux de 1710 chaises, en vue d’assurer plus de convenance à l’opération de formation de toutes les composantes de la faculté. D’autre part, le doyen a estimé que l’intérêt porté à la question universitaire et de formation traduit fortement le souci majeur sur lequel avait insisté le récent discours royal à l’occasion de la commémoration de la fête de la révolution du Roi et du Peuple, selon lequel il a été affirmé l’adéquation de la formation à l’emploi. Dans ce sens, il rappelle que l’université Ibn Zohr avait exigé l’ouverture sur d’autres langues après avoir maîtrisé les langues nationales, sachant que l’université avait signé un certain nombre de partenariats avec de grands instituts nationaux et étrangers pour l’apprentissage des langues vivantes, notamment l’anglais, le français, l’espagnol, le chinois, le russe, le polonais, le japonais, en plus d’une série de leçons, de formations et d’activités culturelles qui s’insèrent dans la motivation des étudiants et son intégration dans son entourage social.

Par ailleurs, en ce qui concerne le relèvement des services et le rehaussement de la gouvernance, Dr Ahmed Belcadi n’a pas manqué de mettre en valeur l’importance de l’insertion des nouvelles technologies dans les opérations de l’inscription à distance et au cours des leçons universitaires, tout en insistant sur la nécessité d’inciter à la recherche, à la productivité et à l’innovation, à travers la mise en place des structures et la préparation des espaces idoines. Dans ce sens, la Faculté des lettres et sciences humaines d’Agadir a récemment tenu «journée d’accueil des étudiants», du 22 au 29 juillet précédent afin d’orienter le nouvel étudiant et lui présenter toutes les informations relatives aux spécialités que regroupe la faculté, ainsi que la facilitation de l’opération de l’inscription des étudiants dans les disciplines choisis, avec l’encadrement d’un groupe spécialisé de l’accompagnement universitaire. De même, la faculté prévoit en ce début de septembre une autre semaine d’inscription, d’orientation et d’accueil des étudiants pour que ceux qui n’ont pas pu s’inscrire puissent le faire.

Saoudi El Amalki